Une fois à Gyeongju, les touristes peuvent faire une halte dans le parc des Tumuli. Là, ils découvriront un ensemble de 23 tertres qui ont été construits afin de servir de tombeaux aux souverains. Après cela, les vacanciers pourront entreprendre une randonnée au mont T’oham localisé au sud-est de Gyeongju. Sur les lieux, ils auront l’opportunité de voir de plus près la grotte de Seogkuram et le temple du Bulguksa. Il est à noter que ces deux sites sont répertoriés sur la liste du patrimoine de l’UNESCO.
Pour information, la grotte de Seogkuram a été creusée dans une falaise à 750 m d’altitude. Son édification remonte au VIIIe siècle. Elle abrite l’une des trésors de la Corée du Sud, à savoir, le Bouddha de granite. En ce qui concerne le temple du Bulguksa, il constitue l’édifice religieux le plus visité et le plus photographié du territoire sud-coréen. Il a été bâti en l’an 528 et réaménagé en l’an 730. C’est un ensemble de bâtiments en bois édifiés sur des terrasses de pierre. Ce site se divise en 3 parties : Daeungjeon, Birojeon et Geungnakjeon. On y trouve également des ponts et deux pagodes comme celle de Sakyamuni et celle des trésors abondants.
Par ailleurs, les routards peuvent se rendre au monastère Haeinsa. Ce dernier a été construit sur les flancs du mont Kaya, plus précisément, dans le parc national de Gayasan. Les aventuriers y trouveront le Tripitaka Koreana, un jeu de tablettes de bois contenant un canon bouddhiste datant du XIIIe siècle. Pour ceux et celles qui ne le savent pas encore, ce monastère est également inscrit sur la liste du Patrimoine de l’humanité par l’UNESCO.
Nick